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STAGE TECHNIQUE INTERNATIONAL D’ARCHIVES (STIA)
Session
2014, 19 mai – 20 juin, Paris
Les
34 candidats sélectionnés représentaient 25 pays et, dans ce but, étaient
accordées 18 bourses de stages.
La
période de formation était partagée en quatre modules, dans le but de balayer
tout le champ archivistique contemporain :
1) Module « collecte, gestion de
l’archivage » (coordonnateur : M. André GAREAU) ;
2) Module « traitement
des archives » (coordonnateur : M. Danis HABIB) ;
3) Module « communication,
valorisation » (coordonnateur : M. Edouard BOUYÉ) ;
4) Module « conservation,
restauration » (coordonnatrices : Mmes Marie COURSELAUD, Patricia
COSTE).
Chaque module contenait des conférences et des
ateliers pratiques dirigés par les chefs des modules et les spécialistes invités, et des communications (retours de l’expérience) des
stagiaires.
L’apport
du stage était très enrichissant, tant du point de vue théorique, que pratique.
La
durée et le rythme de la formation étaient appropries.
Les
conférences étaient d’un très bon niveau pédagogique, le rapport entre
conférences et les travaux pratiques étant optimal, et les échanges (des
conférenciers avec les stagiaires, d’une part, et entre ces-derniers, d’autre part) riches.
Le
contenu pédagogique était aussi riche en informations essentielles, et communiqué d’une manière explicite.
Les
travaux pratiques étaient bien dosés
et couvraient l’ensemble des pratiques archivistiques.
Une
partie de l’activité était laissée aux
exposés
des stagiaires (partage des expériences).
Pendant
le stage on organisait plusieurs visites dans des institutions d’archives et
centres de formation : Archives nationales de Pierrefitte-sur-Seine,
Archives nationales de Paris, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis,
Archives du Centre national de recherche scientifique (CNRS), Institut national
du patrimoine (INP), Service historique de la Défense, Archives départementales
de la Côte d’Or (Dijon), Archives municipale de Beaune et Archives municipales
de Dijon.
Tant
avant, qu’au cours du stage, les participants ont utilisé le Portail
International Archivistique Francophone (PIAF) (site : http://www.piaf-archives.org/), un outil de
communication et d’information très interactif, adapté pour organiser les
travaux pratiques et aussi pour mettre les stagiaires et les conférenciers en
contact.
Par
conséquent, ce stage a dépassé toutes mes attentes, s’avérant indispensable
pour me tenir au courant avec les nouvelles évolutions du métier, surtout sur
les sujets de la normalisation archivistique et du partage des bonnes
pratiques. Je le considère aussi important pour mon institution, ainsi que pour
les relations professionnelles et culturelles franco-roumaines.
Bucarest, le 27 juin 2014.